jeudi 18 décembre 2008
Quand la mer envahit Nouméa ...Flux et reflux, suite.
Hauteur des marées aujourd'hui:
Haute mer: 1,60 m basse mer: 0,40 m soit 1,20 m de marnage, de différence si vous préférez, ce n'est pas les 9 m de la Rance bien sûr, mais pas négligeable non plus.
Imaginez le volume d'eau de mer, en mètres cubes, qui se déplace, envahissant la mangrove, s'imisçant partout, submergeant les rives les plus hautes, d'ordinaire au sec; et accéssoirement, repoussant les saletés "civilisées" au plus haut de la berge les rendant à leur expéditeur, l'Homme.
120 centimètres de hauteur de liquide multipliés par des kilomètres carrés de superficie, une belle quantité d'eau de mer qui régénère ces champs de palétuviers !
Au plus haut de ces hautes eaux, je m'imaginais navigant en canoë ou en kayak, à travers tous ces canaux, qui survivent encore aux remblais autour de Nouméa; admirant ces racines tordues sur lesquelles aiment jouer les enfants, observant poissons de toutes espèces et oiseaux attentifs à leur pêche, jouant avec les petites brises qui frisent la surface de quelqu'anse (Uaré ?) perdue !
Ce serait beau, ce serait bien !
Peut-être même que ce serait touristique (!?); à moins qu'on ne conçoive le touriste uniquement comme un être affalé à cramer sous le soleil sur une plage de sable blanc, ou au bord d'une piscine un coktail à la main ...Stéréotype, quand tu nous tiens, l'imagination fout le camp !
Haute mer: 1,60 m basse mer: 0,40 m soit 1,20 m de marnage, de différence si vous préférez, ce n'est pas les 9 m de la Rance bien sûr, mais pas négligeable non plus.
Imaginez le volume d'eau de mer, en mètres cubes, qui se déplace, envahissant la mangrove, s'imisçant partout, submergeant les rives les plus hautes, d'ordinaire au sec; et accéssoirement, repoussant les saletés "civilisées" au plus haut de la berge les rendant à leur expéditeur, l'Homme.
120 centimètres de hauteur de liquide multipliés par des kilomètres carrés de superficie, une belle quantité d'eau de mer qui régénère ces champs de palétuviers !
Au plus haut de ces hautes eaux, je m'imaginais navigant en canoë ou en kayak, à travers tous ces canaux, qui survivent encore aux remblais autour de Nouméa; admirant ces racines tordues sur lesquelles aiment jouer les enfants, observant poissons de toutes espèces et oiseaux attentifs à leur pêche, jouant avec les petites brises qui frisent la surface de quelqu'anse (Uaré ?) perdue !
Ce serait beau, ce serait bien !
Peut-être même que ce serait touristique (!?); à moins qu'on ne conçoive le touriste uniquement comme un être affalé à cramer sous le soleil sur une plage de sable blanc, ou au bord d'une piscine un coktail à la main ...Stéréotype, quand tu nous tiens, l'imagination fout le camp !
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