lundi 24 novembre 2008
Provinciales 2009: billet N°5; la chasse aux sièges ... est ouverte.
Plus il y aura de listes, plus il y aura de candidats !
Plus il y aura de candidats, plus les places éligibles seront chères !
Plus il y aura de listes, plus il leur faudra convaincre les électeurs!
Plus il faudra convaincre, plus la com(munication) sera débridée !
Plus il y aura de listes, plus il faudra "ratisser large" !
Plus il faudra ratisser large, plus la démagogie sera reine !
Plus il y aura de listes, plus on fera appel à la "société civile" !
Plus on fera appel à la société civile, plus tout le monde et n'importe qui sera sollicité !
Plus il y aura de listes, plus la bataille du seuil (*) sera rude !
Plus la bataille du seuil sera rude, plus tous les coups (pourris) seront permis !
Plus il y aura de listes,
Plus il y aura de démocratie ?
Mais;
S'il y a moins de listes, il y aura moins de choix de candidats !
S'il y a moins de listes, il y aura moins de nuances !
S'il y a moins de listes, il y aura moins de propositions !
Et;
Qu'en sera-t-il des élus actuels qui ont goûté à leur siège et à ses avantages depuis 5, 10 voire 15 années ou plus ?
Accepteront-ils de laisser la place à d'autres, de faire de la place pour d'autres; pour renouveler et enrichir la réflexion et les propositions comme les compétences pour préparer l'avenir de Notre Pays ???
*(Une liste devra obtenir 5% des inscrits pour participer au partage des sièges aux assemblées de Province et au Congrès)
Plus il y aura de candidats, plus les places éligibles seront chères !
Plus il y aura de listes, plus il leur faudra convaincre les électeurs!
Plus il faudra convaincre, plus la com(munication) sera débridée !
Plus il y aura de listes, plus il faudra "ratisser large" !
Plus il faudra ratisser large, plus la démagogie sera reine !
Plus il y aura de listes, plus on fera appel à la "société civile" !
Plus on fera appel à la société civile, plus tout le monde et n'importe qui sera sollicité !
Plus il y aura de listes, plus la bataille du seuil (*) sera rude !
Plus la bataille du seuil sera rude, plus tous les coups (pourris) seront permis !
Plus il y aura de listes,
Plus il y aura de démocratie ?
Mais;
S'il y a moins de listes, il y aura moins de choix de candidats !
S'il y a moins de listes, il y aura moins de nuances !
S'il y a moins de listes, il y aura moins de propositions !
Et;
Qu'en sera-t-il des élus actuels qui ont goûté à leur siège et à ses avantages depuis 5, 10 voire 15 années ou plus ?
Accepteront-ils de laisser la place à d'autres, de faire de la place pour d'autres; pour renouveler et enrichir la réflexion et les propositions comme les compétences pour préparer l'avenir de Notre Pays ???
*(Une liste devra obtenir 5% des inscrits pour participer au partage des sièges aux assemblées de Province et au Congrès)
samedi 22 novembre 2008
Hache os (t') un soir ... Quelque part dans la Chaîne Centrale.
Pseudo-fiction; Number two...
La grande hache s'est abattue; je me suis retrouvé à Koumac; à me tortiller sur un lit d'hopital. Mal, trop mal, malgré la morphine, à n'en plus pouvoir...
Une rencontre entre une grande hache et un pied...Nu. Une artère coupée sur plus de trois centimètres. Un voyage en ambulance, la nuit, à travers toute la Province Nord, la Tiwaka-Koné, et Koné, changement d'ambulance, et la douleur qui monte de ce pied, balloté dans tous les sens possibles, comme pour évacuer cette douleur tenace et si improbable.
Curieux voyage qui me conduit dans cette chambre de l'Hopital du Nord, à côté de ce jeune garçon blessé à la main. Et cette douleur, incroyable, oubliée, qui me fait supplier ce garçon de m'excuser de gémir.
Et cet infirmier au bandana, attentif, et cette infirmière jolie, comme un pléonasme, qui se penchent sur mon ... Pied.
Enfin, on me soulage de ce pansement compressif qui désolidarise mon pied du reste de mon corps tout en agressant violemment ma tête.
Du sang partout dans le couloir, on me suit ...A la trace.
Enfin, la péridurale qui désolidarise, elle aussi, à sa façon, le haut du bas de mon corps.
"Tout va bien M. Douyère ?"
Oui tout va bien; coupez enfin ce pied que je ne saurai supporter plus avant !
Mais qu'ai-je donc voulu couper pour la 2182ème fois cette buche posée, comme d'habitude, verticale, sur ce vieux billot de houp ? Un exercice rôdé. C'était sans compter l'instant de distraction improbable lui aussi; ou peut-être, probablement probable !
Je ne sens plus rien ... Mais je n'ai plus mal. Et surtout, mon pied ne pisse plus le sang !
Je suis fatigué, très fatigué, de tout, de cette cônnerie qui m'est arrivée, de cette vie finalement sans sens; puisqu'un rien peut la faire basculer; à moins de prendre l'illusion pour une réalité...illusoire et improbable, toujours !
Les enfants, Anne doivent s'inquiéter; qu'ont-ils compris ?
Je n'ai rien compris ! Tout s'est passé si vite.
Je me réveille avec peine pour distinguer Anne et Cîbaou penchés sur moi; improbables encore. Mais que font-ils là, à me sourire, alors que je peine à garder les yeux ouverts; une illusion ? Dans cette chaleur moite du Nord; un mirage.
Dont je sors enfin. Une douce sensation d'éxister de nouveau, un peu, en regardant défiler ces paysages du Nord; si différents de ceux de la Côte Est; un brin exotiques pour moi.
La grande hache s'est abattue; je me suis retrouvé à Koumac; à me tortiller sur un lit d'hopital. Mal, trop mal, malgré la morphine, à n'en plus pouvoir...
Une rencontre entre une grande hache et un pied...Nu. Une artère coupée sur plus de trois centimètres. Un voyage en ambulance, la nuit, à travers toute la Province Nord, la Tiwaka-Koné, et Koné, changement d'ambulance, et la douleur qui monte de ce pied, balloté dans tous les sens possibles, comme pour évacuer cette douleur tenace et si improbable.
Curieux voyage qui me conduit dans cette chambre de l'Hopital du Nord, à côté de ce jeune garçon blessé à la main. Et cette douleur, incroyable, oubliée, qui me fait supplier ce garçon de m'excuser de gémir.
Et cet infirmier au bandana, attentif, et cette infirmière jolie, comme un pléonasme, qui se penchent sur mon ... Pied.
Enfin, on me soulage de ce pansement compressif qui désolidarise mon pied du reste de mon corps tout en agressant violemment ma tête.
Du sang partout dans le couloir, on me suit ...A la trace.
Enfin, la péridurale qui désolidarise, elle aussi, à sa façon, le haut du bas de mon corps.
"Tout va bien M. Douyère ?"
Oui tout va bien; coupez enfin ce pied que je ne saurai supporter plus avant !
Mais qu'ai-je donc voulu couper pour la 2182ème fois cette buche posée, comme d'habitude, verticale, sur ce vieux billot de houp ? Un exercice rôdé. C'était sans compter l'instant de distraction improbable lui aussi; ou peut-être, probablement probable !
Je ne sens plus rien ... Mais je n'ai plus mal. Et surtout, mon pied ne pisse plus le sang !
Je suis fatigué, très fatigué, de tout, de cette cônnerie qui m'est arrivée, de cette vie finalement sans sens; puisqu'un rien peut la faire basculer; à moins de prendre l'illusion pour une réalité...illusoire et improbable, toujours !
Les enfants, Anne doivent s'inquiéter; qu'ont-ils compris ?
Je n'ai rien compris ! Tout s'est passé si vite.
Je me réveille avec peine pour distinguer Anne et Cîbaou penchés sur moi; improbables encore. Mais que font-ils là, à me sourire, alors que je peine à garder les yeux ouverts; une illusion ? Dans cette chaleur moite du Nord; un mirage.
Dont je sors enfin. Une douce sensation d'éxister de nouveau, un peu, en regardant défiler ces paysages du Nord; si différents de ceux de la Côte Est; un brin exotiques pour moi.
vendredi 21 novembre 2008
Un faux-rhum de mauvaise cuvée ! En dehors du nickel, un salut ?
Le forum de M. Rosada sur TNC, pour ceux qui l'ont regardé pensant s'informer voire s'instruire un peu, a été du plus pur style: "plus nul je meurs...".
Le thème en était: le développement économique à l'horizon 2025 et les alternatives (!?) au nickel.
Seul M. Rosada a tenu la route, dans son rôle, ses invités étaient hors du chemin pratiquant platitude, langue de bois et lapalissade sans même s'en rendre compte ! En dehors du fait que, même dans leurs attitudes physiques, leurs postures, leurs manières de prendre la parole, déjà, on avait envie de "se sauver".
Même en écoutant attentivement et en étant concentré, je n'ai rien appris de nouveau ou d'original; aucune intervention approfondie ou construite ... Ces gens, dont l'une est notre "ministre" de l'économie, enfermée dans ses certitudes et dans celles de son "parti" plusieurs fois évoqué comme un paravent, un autre présenté comme "diplômé d'HEC" et qui, par sa prestation plus que médiocre, en a donné une bien pâle image, et les autres à peine moins mauvais, m'ont semblé subir la moiteur tropicale sans pouvoir donner une quelconque image dynamique et positive de l'avenir de Notre Pays.
D'abord, soyons clair -provocation ?- il n'y a pas d'alternative au nickel en Nouvelle-Calédonie pour les cent ans à venir. C'est dans la tête de personne. La Nouvelle-Calédonie, la vraie, n'y pense même pas, tout le reste c'est blabla et compagnie. Ceux qui croient le contraire, s'ils existent, soit font semblant, soit ne font pas partie des "générations-nickel-TEC" (Toutes Ethnies Confondues) qui ont traversé les cent cinquante dernières années de Notre pays.
Donc, le nickel est là et bien là avec son économie dont nous sommes tous fiers. Et c'est bien ce qui fait l'originalité de notre archipel. Je dirais même - provocation ?- son attrait ... Eh oui!
Accessoirement, il y a un superbe lagon, des îlots magnifiques, une barrière de corail exceptionnelle, des forêts exubérantes, des montagnes affirmées, des populations "exotiques" (kanak, caldoches, avec leurs cultures "authentiques"), des index de correction dilatés par la chaleur tropicale ...
Accessoirement, il y a des touristes, des éleveurs de bovins, des cultivateurs ...
... --- ...
Imaginez un tout petit moment, pas trop longtemps pour éviter le cauchemar - provocation ? - la Nouvelle-Calédonie ... Sans son nickel; allez, faîtes un effort, que serait-elle à l'heure actuelle ? Que seriez-vous ? Où seriez-vous ?
- Provocation ?- Moi, mes aïeux y sont arrivés avant Jules Garnier, comme coolie de paddon, ou pour cultiver la canne à sucre comme dans leur île d'origine, l'Ile Bourbon, alors le nickel ... Les Kanak utilisaient déjà les bienfaits du nickel, sans métallurgie ... Nickel qui "coulait" dans les plantes endémiques des massifs cuirassés ... Pour se soigner !
... --- ...
Je propose donc que nous pensions sans vergogne notre économie avec le nickel au "centre du dispositif" économique, ce qu'il est "naturellement". Penser cette économie nickel non plus comme une honte, mais comme une chance. Un nouveau paradigme économique, social et environnemental en quelque sorte, qui dépasserait les conflits d'intérêts, qui transcenderait notre vision du développement, nos lignes budgetaires, nos prévisions d'investissements, harmoniserait les relations entre les différents secteurs économiques.
Il s'agit de ne plus nous effaroucher de mettre l'économie nickel au centre du développement du siècle à venir, et partant de là, d'en penser les conséquences, bonnes et mauvaises, de ce choix et de les anticiper !
Le nickel est LA ressource de la Nouvelle-Calédonie, CELLE QUI PEUT NOUS DONNER LES MOYENS de faire vivre décemment sa population, de l'éduquer convenablement, de fonder une société socialement juste, de sauvegarder nos cultures ... Mais aussi, - sans provocation ?- de protéger son lagon, sa nature et de les partager avec nos visiteurs.
Le thème en était: le développement économique à l'horizon 2025 et les alternatives (!?) au nickel.
Seul M. Rosada a tenu la route, dans son rôle, ses invités étaient hors du chemin pratiquant platitude, langue de bois et lapalissade sans même s'en rendre compte ! En dehors du fait que, même dans leurs attitudes physiques, leurs postures, leurs manières de prendre la parole, déjà, on avait envie de "se sauver".
Même en écoutant attentivement et en étant concentré, je n'ai rien appris de nouveau ou d'original; aucune intervention approfondie ou construite ... Ces gens, dont l'une est notre "ministre" de l'économie, enfermée dans ses certitudes et dans celles de son "parti" plusieurs fois évoqué comme un paravent, un autre présenté comme "diplômé d'HEC" et qui, par sa prestation plus que médiocre, en a donné une bien pâle image, et les autres à peine moins mauvais, m'ont semblé subir la moiteur tropicale sans pouvoir donner une quelconque image dynamique et positive de l'avenir de Notre Pays.
D'abord, soyons clair -provocation ?- il n'y a pas d'alternative au nickel en Nouvelle-Calédonie pour les cent ans à venir. C'est dans la tête de personne. La Nouvelle-Calédonie, la vraie, n'y pense même pas, tout le reste c'est blabla et compagnie. Ceux qui croient le contraire, s'ils existent, soit font semblant, soit ne font pas partie des "générations-nickel-TEC" (Toutes Ethnies Confondues) qui ont traversé les cent cinquante dernières années de Notre pays.
Donc, le nickel est là et bien là avec son économie dont nous sommes tous fiers. Et c'est bien ce qui fait l'originalité de notre archipel. Je dirais même - provocation ?- son attrait ... Eh oui!
Accessoirement, il y a un superbe lagon, des îlots magnifiques, une barrière de corail exceptionnelle, des forêts exubérantes, des montagnes affirmées, des populations "exotiques" (kanak, caldoches, avec leurs cultures "authentiques"), des index de correction dilatés par la chaleur tropicale ...
Accessoirement, il y a des touristes, des éleveurs de bovins, des cultivateurs ...
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Imaginez un tout petit moment, pas trop longtemps pour éviter le cauchemar - provocation ? - la Nouvelle-Calédonie ... Sans son nickel; allez, faîtes un effort, que serait-elle à l'heure actuelle ? Que seriez-vous ? Où seriez-vous ?
- Provocation ?- Moi, mes aïeux y sont arrivés avant Jules Garnier, comme coolie de paddon, ou pour cultiver la canne à sucre comme dans leur île d'origine, l'Ile Bourbon, alors le nickel ... Les Kanak utilisaient déjà les bienfaits du nickel, sans métallurgie ... Nickel qui "coulait" dans les plantes endémiques des massifs cuirassés ... Pour se soigner !
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Je propose donc que nous pensions sans vergogne notre économie avec le nickel au "centre du dispositif" économique, ce qu'il est "naturellement". Penser cette économie nickel non plus comme une honte, mais comme une chance. Un nouveau paradigme économique, social et environnemental en quelque sorte, qui dépasserait les conflits d'intérêts, qui transcenderait notre vision du développement, nos lignes budgetaires, nos prévisions d'investissements, harmoniserait les relations entre les différents secteurs économiques.
Il s'agit de ne plus nous effaroucher de mettre l'économie nickel au centre du développement du siècle à venir, et partant de là, d'en penser les conséquences, bonnes et mauvaises, de ce choix et de les anticiper !
Le nickel est LA ressource de la Nouvelle-Calédonie, CELLE QUI PEUT NOUS DONNER LES MOYENS de faire vivre décemment sa population, de l'éduquer convenablement, de fonder une société socialement juste, de sauvegarder nos cultures ... Mais aussi, - sans provocation ?- de protéger son lagon, sa nature et de les partager avec nos visiteurs.
mercredi 5 novembre 2008
La Nouvelle-Calédonie voterait-elle "OBAMA" ?
Je voterais Barack OBAMA si l'occasion m'en était donnée...
Comme les trois-quarts des citoyens du Monde. Je ne voudrais pas en rajouter, tant il a été dit à ce sujet ! Et pourtant, en ce jour il m'était impossible de ne pas y aller, moi aussi, de mon point de vue.
Y-a-t-il un pays pour lequel une élection interne mobilise autant le monde entier ? Il n'y a que les USA qui peuvent produire un tel engouement. C'est significatif de l'impact ( économique, politique, culturel ...) de ce pays dans l'histoire moderne et récente de notre planète; qu'on le veuille ou non. Même l'élection de Nelson Mandéla à la présidence de l'Afrique Du Sud, portant pourtant tant de changements dans l'évolution des mentalités n'a eu autant de portée.
Cela est significatif de deux choses:
Un, la mondialisation est bien là et il n'est plus possible d'en vivre écarté; la leçon est qu'il nous est vitale d'apprendre à l'intégrer autant comme contrainte que comme ressource dans la vision que l'on souhaite développer de l'avenir de Notre pays.
Deux, notre monde ne va pas bien; pas bien du tout. Et les peuples de notre planète cherchent une issue que beaucoup ne trouvent pas. Alors, espérer OBAMA c'est tout ce qu'il leur reste.
Si OBAMA est élu, il portera tant de poids sur les épaules, ce poids le plus lourd qui soit: celui des espoirs de tant de citoyens du monde ... Que son pays, son peuple, le peuple américain devra en prendre conscience pour prendre sa part des attentes des peuples du monde entier. Curieusement, on lui demandera moins et plus d'interventionnisme , ce sera selon ... Guerre ou Paix, économie prédatrice ou solidaire, culture ouverte ou culture imposée ??? ...
Quoiqu'il en soit, ce pays, qu'on l'adore ou qu'on l'abhorre, capable du pire comme du meilleur, garde une incroyable capacité à nous étonner, à nous surprendre.
Good luck, Barack ! See you tommorrow, as President of the United States of America...
Comme les trois-quarts des citoyens du Monde. Je ne voudrais pas en rajouter, tant il a été dit à ce sujet ! Et pourtant, en ce jour il m'était impossible de ne pas y aller, moi aussi, de mon point de vue.
Y-a-t-il un pays pour lequel une élection interne mobilise autant le monde entier ? Il n'y a que les USA qui peuvent produire un tel engouement. C'est significatif de l'impact ( économique, politique, culturel ...) de ce pays dans l'histoire moderne et récente de notre planète; qu'on le veuille ou non. Même l'élection de Nelson Mandéla à la présidence de l'Afrique Du Sud, portant pourtant tant de changements dans l'évolution des mentalités n'a eu autant de portée.
Cela est significatif de deux choses:
Un, la mondialisation est bien là et il n'est plus possible d'en vivre écarté; la leçon est qu'il nous est vitale d'apprendre à l'intégrer autant comme contrainte que comme ressource dans la vision que l'on souhaite développer de l'avenir de Notre pays.
Deux, notre monde ne va pas bien; pas bien du tout. Et les peuples de notre planète cherchent une issue que beaucoup ne trouvent pas. Alors, espérer OBAMA c'est tout ce qu'il leur reste.
Si OBAMA est élu, il portera tant de poids sur les épaules, ce poids le plus lourd qui soit: celui des espoirs de tant de citoyens du monde ... Que son pays, son peuple, le peuple américain devra en prendre conscience pour prendre sa part des attentes des peuples du monde entier. Curieusement, on lui demandera moins et plus d'interventionnisme , ce sera selon ... Guerre ou Paix, économie prédatrice ou solidaire, culture ouverte ou culture imposée ??? ...
Quoiqu'il en soit, ce pays, qu'on l'adore ou qu'on l'abhorre, capable du pire comme du meilleur, garde une incroyable capacité à nous étonner, à nous surprendre.
Good luck, Barack ! See you tommorrow, as President of the United States of America...
samedi 1 novembre 2008
Ode au(x) Pacifique(s) ...
Après deux ou trois billets tristes ou "colère", gris, fatigants; j'éprouve le besoin de changer d'air ... et de ton, de "penser bleu", comme le ciel ou la Mer de Corail, reposant.
C'est pourquoi je dédie ces quelques lignes (écrites et publiées il y a quelques années) à tous ceux qui aime l'Océanie, le Pacifique.
"Etre océanien. C'est être du Pacifique.
Je me sens du Pacifique.
Je sens le Pacifique.
Je suis Pacifique.
J'aime le Pacifique:
-les montagnes de ses îles, profondes et vertes,
-les vallées qui s'écoulent des montagnes de ses îles.
-les plages de ses îles, étroites et lumineuses,
-les rouleaux qui déferlent sur les plages de ses îles.
-la violence de ses cyclones,
-la douceur de ses alizés.
Le Pacifique est Homme et Femme.
Le Pacifique est métis.
Le pacifique est endémique.
Le Pacifique est "en-tropique".
Le Pacifique est hors du temps."
Ceux qui aiment Notre Profond Grand Océan ne peuvent qu'y trouver la meilleure inspiration pour conduire leur vie.
C'est pourquoi je dédie ces quelques lignes (écrites et publiées il y a quelques années) à tous ceux qui aime l'Océanie, le Pacifique.
"Etre océanien. C'est être du Pacifique.
Je me sens du Pacifique.
Je sens le Pacifique.
Je suis Pacifique.
J'aime le Pacifique:
-les montagnes de ses îles, profondes et vertes,
-les vallées qui s'écoulent des montagnes de ses îles.
-les plages de ses îles, étroites et lumineuses,
-les rouleaux qui déferlent sur les plages de ses îles.
-la violence de ses cyclones,
-la douceur de ses alizés.
Le Pacifique est Homme et Femme.
Le Pacifique est métis.
Le pacifique est endémique.
Le Pacifique est "en-tropique".
Le Pacifique est hors du temps."
Ceux qui aiment Notre Profond Grand Océan ne peuvent qu'y trouver la meilleure inspiration pour conduire leur vie.
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