lundi 28 septembre 2015
De qui descendons-nous et d'où venons-nous vraiment, en Nouvelle-Calédonie ?
Généalogies, lignées, filiations ... et cousinades en Nouvelle-Calédonie.
Une mise au point sur quelques usages abusifs (pervers ?) de la généalogie.
C'est purement mathématiques ... et biologique:
Chacun de nous descend de deux (2) personnes à la 1 ère génération qui nous précède; c'est-à-dire que chacun de nous a deux (2) parents à la génération 1 (2 exposant 1 ou 2 puissance 1 si vous préférez); de quatre (4) grands parents à la 2 ème génération (2 exposant 2), toujours en amont de chacun d'entre nous; de huit (8) personnes (arrière-grands parents) à la 3 ème génération ( 2 exposant 3) ... etc.
Vous l'avez compris, le nom que je porte, est à la 3 ème génération, celui d'une personne sur les huit (8) dont je descends !!!
Impressionnant, non ?
Mais nous continuons à honorer celui-ci, en ignorant les sept autres à cette génération-là ... et, ignorant les 15 autres à la génération précédente, et ainsi de suite ...
C'est le paradoxe de ces "cousinades" qui rassemblent tous ceux qui "descendent" d'un "bonhomme"; choisi (?) pour sa représentativité, surtout en Calédonie, où la légitimité authentiquement "calédonienne" est toujours recherchée, ou suspecte !
Alors nous nous rassemblons sous la bannière de l'aïeul bagnard, ou kanak, ou chinois, ou malabar, ou réunionnais, ou arabe, ou japonais, ou zoreille (hem! rarement affiché comme tel ...), etc.
Oubliant, négligeant, allègrement, tous ces aïeux indignes (?) de reconnaissance, hommes et femmes, ayant croisé ou non le chemin de cet illustre huitième ou seizième de sang !!!
...
Personnellement, je me nomme "Douyère"; mais je ne veux pas ignorer tous ces aïeux qui m'ont précédé et ont contribué à me donner la vie, des femmes et des hommes dont le nom et l'histoire singulière s'évanouissent dans cette nuit des temps et des générations.
Et qui m'ont transmis peu ou prou leur ADN, à défaut de leur nom !
Une mise au point sur quelques usages abusifs (pervers ?) de la généalogie.
C'est purement mathématiques ... et biologique:
Chacun de nous descend de deux (2) personnes à la 1 ère génération qui nous précède; c'est-à-dire que chacun de nous a deux (2) parents à la génération 1 (2 exposant 1 ou 2 puissance 1 si vous préférez); de quatre (4) grands parents à la 2 ème génération (2 exposant 2), toujours en amont de chacun d'entre nous; de huit (8) personnes (arrière-grands parents) à la 3 ème génération ( 2 exposant 3) ... etc.
Vous l'avez compris, le nom que je porte, est à la 3 ème génération, celui d'une personne sur les huit (8) dont je descends !!!
Impressionnant, non ?
Mais nous continuons à honorer celui-ci, en ignorant les sept autres à cette génération-là ... et, ignorant les 15 autres à la génération précédente, et ainsi de suite ...
C'est le paradoxe de ces "cousinades" qui rassemblent tous ceux qui "descendent" d'un "bonhomme"; choisi (?) pour sa représentativité, surtout en Calédonie, où la légitimité authentiquement "calédonienne" est toujours recherchée, ou suspecte !
Alors nous nous rassemblons sous la bannière de l'aïeul bagnard, ou kanak, ou chinois, ou malabar, ou réunionnais, ou arabe, ou japonais, ou zoreille (hem! rarement affiché comme tel ...), etc.
Oubliant, négligeant, allègrement, tous ces aïeux indignes (?) de reconnaissance, hommes et femmes, ayant croisé ou non le chemin de cet illustre huitième ou seizième de sang !!!
...
Personnellement, je me nomme "Douyère"; mais je ne veux pas ignorer tous ces aïeux qui m'ont précédé et ont contribué à me donner la vie, des femmes et des hommes dont le nom et l'histoire singulière s'évanouissent dans cette nuit des temps et des générations.
Et qui m'ont transmis peu ou prou leur ADN, à défaut de leur nom !
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